Un mini guide sur le Géocaching

Pour en savoir plus sur le Géocaching, débuter ou aider quelqu'un à débuter, je vous propose de télécharger le PDF ci-dessous (en cliquant sur l'image ou dans le menu de droite sur l'entrée "Késako : Le Géocaching")

N'hésitez pas à me faire vos remarques (constructives :-), je tâcherai d'en tenir compte...

#143 : Cercottes - La pause

Quand on a le moral en berne, rien de tel qu'une petit cache "entre midi et deux" pour se refaire la cerise !

Un petit crochet par Cercottes ce midi pour se changer les idées et une petite cache rapidement trouvée.
On appréciera le système d'accroche (j'ai déjà vu ça quelque part ;-) et le camouflage. Merci Hervé pour ce petit bol d'air.

Je n'avais jamais remarqué que la RN20 passait sur ces deux arches... il ne faut pas avoir une grande voiture, ou alors il faut bien viser :-p

Création de 2 nouvelles caches

Pour enrichir notre liste "Le Loiret fait son cinéma", nous sommes allé aujourd'hui placer deux nouvelles boites sur des lieux de tournage de films.

Les deux films mis à l'honneur sont :

• César et Rosalie de Claude Sautet, sorti en 1972
• Le Cerveau de Gérard Oury, sorti en 1969

Pour la cache "Le Cerveau", nous n'avons aucun problème car l'endroit est perdu au milieu des champs et à l'heure du repas, la route est peu passante.

Le pont n'a quasiment pas changé :

Voici l'extrait vidéo du film où Jean-Paul Belmondo et Bourvil attaquent le train :


En raison du titre du film, il vous faudra vous creuser les méninges pour trouver les coordonnées de cette cache...

Pour la seconde cache, en revanche, il a fallu être beaucoup plus discret car nous étions épiés par une dame, à travers ses persiennes...

Nous avons tout de même réussi à poser la magnétique à l'endroit où a été tournée la première scène du film de Claude Sautet :

#142 : Meung - Le bassin

Ce qu'il y a de bien en cas de canicule, c'est qu'on conseille aux gens de rester chez eux...

Ce qu'il y a de bien quand on conseille aux gens de rester chez eux... c'est qu'ils restent chez eux... 

En l'occurrence, il fait 39°C à l'ombre et je suis un des rares fadas à mettre de nez dehors. Je ne croise personne sur la route qui mène a Meung sur Loire et le parc autour du bassin est désert... tant mieux...

Les coordonnées sont précises, le hint fait son effet, je trouve la boite en deux temps trois mouvements.

Un petit échange de TB et je retourne à la maison, boire un coup et piquer une tête dans la piscine... (les deux en même temps !)

Attention, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé...

Il fait vraiment trop chaud pour en écrire plus...

Au passage, je décroche mon deuxième souvenir "International Geocaching Day" !

#141 : Cercottes - Le rail de l'aérotrain

Comme souvent, un petit mail reçu hier soir (très tard) m'indique que miguaine a publié une nouvelle cache de messier42.

Ni une, ni deux, je profite de la pause déjeuner pour me rendre sur Cercottes (en fait j'y vais pratiquement tous les midis profiter de la fraîcheur des sous-bois...).

Je connais bien l'endroit et c'est vrai que c'est le seul endroit d'où l'on peut voir le rail de l'Aérotrain Bertin et ses courbes régulières.

Je me gare au point indiqué (c'est le plus pratique) et je marche vers le spot. Personne en vue...

A peine arrivé sur le spot, je repère la boite, je fait semblant de prendre le rail en photo et je sors la boite de son logement.

Je me rue sur la première page du log book "made in messier42" et... bonheur... je vois que personne n'a signé la page FTF. J'ai donc été le plus rapide cette fois-ci !

Je prends finalement le rail en photo (pour de bon) et je décampe, pour ne pas me faire repérer.

Prochaine cache : samedi 18 août pour l'International Geocaching Day

#140 : Chevilly - Le pont noir

Après avoir reçu par mail, dans la matinée, la publication de cette nouvelle cache, je décide de m'y rendre pendant ma pause déjeuner.

Une cache de Messier42, ça ne se refuse pas.

Comme pour "La gare disparue" toute proche, je me dis que j'ai de fortes chances de faire un FTF. en cette semaine de 15 août, les géocacheurs locaux sont peut-être en vacances ?...

Je prends donc tout mon temps pour faire quelques courses (pharmacie, poste, etc...) et je me rends sur le spot que je connais bien.

Une fois sur place j'escalade les marches et je découvre facilement la boite. Je sors le logbook et je m'aperçois que bmarcw est passé juste avant moi... je manque le FTF à 15 minutes près (le temps que m'ont pris les achats réalisés quelques minutes plus tôt !!)... et pour la peine je lui pique une photo du spot ;-)

Bon... tant pis, pour me "consoler" j'emporte avec moi le TB déposé justement par bmarcw 

Du coup ma motivation en prend un coup et je n'ai pas le courage d'aller faire "la radio-balise" juste a coté... Ce sera pour une prochaine sortie, mon compteur pour le mois d'août n'étant plus vierge.

#131 à #139 : une série Périgourdine

Quand il ne fait pas beau pendant les vacances, la solution pour sauver la journée est de faire une petite sortie Géocaching.

Ce fut le cas ce samedi 28 juillet dans le sud de la Dordogne...

Dolmen de Blanc :

1ère cache de la journée, le dolmen est bien indiqué depuis la route, on admire cette sorte de passage couvert dont on ignore ce qu'il symbolise.

Camille prend le GPS et déniche la boite. Vue la taille du contenant, nous ne faisons pas d'échange.

Maison à empilage de Sainte-Sabine :

Nous revenons sur nos pas pour faire un tour à Sainte-Sabine afin d'admirer cette vieille bâtisse traditionnelle. La maison à empilage est impressionnante par sa taille et pour le "vécu" qu'elle dégage.

A peine l'indice décodé, les enfants se ruent sur la souche et découvrent la boite.

Nous déposons un TB en provenance d'Orléans... bon voyage.

Le Lavoir de Saint-Avit :

Après un crochet par Beaumont pour y faire quelques courses, nous prenons la direction de Saint-Avit où le GPS indique plusieurs caches. La première trouvée est celle de ce beau lavoir, très bien conservé.

Pas de difficulté particulière, la boite (de belle facture) est facilement débusquée.

Grand Peyssou - chemin de Compostelle :

Après le lavoir, nous continuons la série du Grand Peyssou en cherchant la cache du chemin de Compostelle. 

En arrivant sur le spot (en voiture) nous croisons une équipe néerlandaise que nous retrouverons plus tard; la Team Samba NL qui a le courage de tout faire à pied. Je leur explique qu'il m'est plus difficile de faire cette série à pied avec les enfants.

Grand Peyssou - le Pouget :

Après le chemin de Compostelle nous enchaînons avec le Pouget en croyant pouvoir continuer la série par cette route... à tort... nous devrons rebrousser chemin. 

Nous saisissons mal l'intérêt de cette cache.

Grand Peyssou - Le pont : 

Sur la route de Peyssou, où nous avons repéré les pins parapluie, le GPS se met à sonner alors que nous traversons le pont. Nous descendons de voiture et Camille trouve tout de suite la boite.

Grand Peyssou - Les pins parapluie :

Par un curieux coup du sort, nous arrivons à proximité des pins parapluie, et de la superbe demeure qui marque le début du chemin de randonnée, au moment où une averse orageuse nous arrose copieusement.

nous nous mettons donc à l'abri sous ces parapluies naturels.

Une fois l'averse passée, nous entamons nos recherches sur le chemin et nous trouvons facilement la première cache.

Grand Peyssou - le trou :

En continuant sur le chemin de Peyssou au bas de Saint-Avit, nous arrivons au pied de cet arbre creux qui abrite une cache... et une fourmilière. Nous retirons la première sans déranger la deuxième, nous signons le carnet et nous nous dirigeons un peu plus vers l'ouest pour terminer notre série du jour.

Grand Peyssou - la carrière :

Arrivés en bas du chemin qui vient de Peyssou, nous commençons à chercher la boite quand nous sommes interpellés par une dame dans une langue que nous avons du mal à comprendre...

".....Hou-Ar-Dogue ?" nous demande-t'elle... Dans le doute, je lui retourne un "No..." international :-)

"Ah ! vous êtes français" me répond-elle...
J'en déduis que mon accent anglais doit être bien pourri :-)))
Je lui confirme donc en français : "Heu.. oui on est français". 

Elle me raconte alors que plus tôt dans l'après-midi, elle a vu passer un couple accompagné de 2 fillettes (au passage Antoine n'appréciera guère d'être confondu avec une fillette..) et d'un gros chien noir (d'où, peut-être, le "Noir Dog" du début de la conversation ?) et que cette famille - qu'elle pense néerlandaise - a dû perdre son chien. Elle l'a recueilli chez elle mais elle cherche en vain ses propriétaires.

Je lui explique que nous venons de Peyssou, que nous participons à une chasse aux trésors et que nous avons bien rencontré d'autres personnes qui pourraient correspondre (la Team Samba NL) mais que ceux-ci ne semblaient par être à la recherche de leur toutou.

Quoi qu'il en soit, si nous croisons quelqu'un nous relaierons l'information.

Elle repart et nous finissons par trouver la boite quand soudain apparaît, au bout de la route, l'équipe rencontrée plus tôt; les Samba NL.

La dame, qui les a vus également, fait demi-tour et commence à leur raconter la même histoire mais je vois de loin que la communication est difficile.

On se croirait dans cette scène de La Chèvre où Perrin et Campana tentent de se faire comprendre dans un bordel sud-américain : "One amigo of me... you... you peut-être connaitre ?"

Pour ajouter un peu de comique à la situation, l'un des Samba NL me fait signe de les rejoindre pour tenter une traduction franco-anglo-hollandaise.

Je m'approche donc et malgré mon niveau d'anglais "scolaire", je parviens à expliquer à nos amis que la dame cherche les maîtres de ce pauvre setter noir. Ils n'ont vu personne non plus.

Nous repartons vers Peyssou par le chemin de randonnée pendant que la Team Samba s'attaque à la cache.

Nous ne croiserons personne, j'ignore donc ce qu'est devenu ce pauvre canidé... certainement recueilli par la SPA locale.

Fin de notre série de 9 caches périgourdines en ce jour de répit météorologique où le thermomètre est descendu sous les 28°C, pour une fois...